Un
voleur de poule a laissé ses empreintes !
Une histoire que l'on oubliera jamais !
La vie est parfois curieuse.
On a l'impression de revivre certaines situations. Des
actes inqualifiables !
10 ans, s'en pouvoir
exercer sa profession, c'est pénible. Pendant 10
ans, Christine a affronté le regard de certains entraîneurs
se moquant de sa situation sans rien comprendre. Nous leur
expliquons la situation et sommes convaincus qu'ils changeront
leur regard sur Christine.
En 10 ans, les bruits
ont eu largement le temps de courir. En 2002, ils ont fait
une halte à la patinoire de Franconville (95) pour
se loger dans l'oreille d'une personne. Celle-ci avait ressenti
le plaisir de se moquer et d'injurier Christine, en faisant
référence à son licenciement de Compiègne
: "pas étonnant qu'elle se soit faite virée!".
Et tout simplement à cause d'un journaliste qui entre
seul, et à l'improviste, dans la patinoire de Franconville
sans demander l'autorisation au directeur. Christine n'est
pas caissière et ne filtre pas les entrées.
Nous
ne souhaitons à personne de vivre ce que nous avons
vécu et encore moins ce qui va suivre.
Parmi son entourage,
il existe des personnes sensibles et justes. Un entraîneur
s'adresse au Président du club d'Argenteuil (95),
Monsieur LAUNEY et lui recommande les compétences
de Christine.
Rapidement, Monsieur
LAUNAY la rencontre. Il la met à l'aise, il est
informé de l'injustice dont elle a été
victime, il compatit. Formidable, les gens vont enfin apprendre
la vérité ! Après être restée
10 ans sans enseigner le patinage dans une association,
le 13 septembre 2004, Christine occupera, la fonction d'entraîneur
principal dans un club, celui d'Argenteuil. Elle s'investira,
retrouvera l'espoir et surtout une grande confiance. Tout
se déroule bien pendant deux années. Mais
Christine gêne une nouvelle fois ! Malgré son
contrat à "durée indéterminée",
le danger guette. Et, en l'espace d'une journée,
la saison terminée depuis un mois, tout bascule à
nouveau.
Accepteriez-vous
que des personnes étrangères de votre lieu
de travail s'entretiennent avec votre employeur, à
votre sujet?
Puis,
quelques jours plus tard, il passera à l'action.
Tout simplement répugnant !
Si vous ne reconnaissez
pas cet infâme personnage,
il viendra à vous avec son fameux dossier !
Trois
membres du comité directeur d'un club voisin,
"informés" des difficultés que Christine
a rencontrées par le passé, interpellent le
Président d'Argenteuil, lors d'une réunion
de ligue, pour débattre sur l'entraîneur de
son club. Le lendemain, un courrier part, la séparation
est prononcée. Christine était en congé
annuel depuis un mois quand elle reçoit sa lettre
de remerciement, c'est le choc ! Aucune raison valable,
aucun entretien préalable et son employeur refuse
catégoriquement de la rencontrer, à quelques
jours des vacances ! Sacrée mémoire qui fait
défaut avec l'âge !
Christine restera 3
mois et demi sans percevoir la moindre indemnité.
Aucune attestation "ASSEDIC" pour une prise en
charge. Monsieur LAUNAY ne veut rien entendre. Christine
portera l'affaire devant les Prud'hommes.
Le club a de l'argent et c'est certainement pour cette raison
que cela ne le gênait pas de rendre compte devant
la justice. De l'argent, mais qui aurait pu être utilisé
pour le bien des adhérents, des enfants du club d'Argenteuil.
Que voulez-vous, la vie d'une association dépend
parfois de l'avis d'une seule personne !
L'entraîneur qui
a rapidement succédé à Christine, est
une bonne amie d'une des personnes qui est intervenue auprès
de Monsieur LAUNAY.
Voici à nouveau,
notre petite famille plongée dans la difficulté,
les problèmes. Les filles sont inquiètes quant
à leur avenir dans le patinage ! Notre entourage
semble être impuissant. Monsieur BRUNET ne pu rien
faire. Cette mésaventure affecte chacun de nous.
Les trois protagonistes de cet acte abject ont fait mouche.
Ils doivent être très fiers de priver un entraîneur
de patinage de son emploi et satisfaits du résultat.
Tandis que les autres avancent !
Les mauvais côtés
du bénévolat.
Ils n'ont pas mesurer
l'impact de leur intervention. Rien ne peut justifier de
priver une personne de manger, de payer son logement, etc...
Ils n'ont aucune excuse. Et pour se donner bonne conscience,
ils organisent des manifestations pour le Téléthon,
des galas, se font passer pour des pros de la glace (sans
aucune expérience), pour des gens de bonne famille,
des gens respectables.
Mais qu'a donc fait
Christine à ses petites gens pour mériter
de perdre son emploi ?
Elle entraînait
tout simplement ses élèves.
Malgré tout,
nous gardons notre dignité et préférons
1000 fois être dans notre situation que d'incarner
la lacheté, l'ignominie. Lorsque nous croisons l'un
d'entre eux dans une patinoire, nous ne pouvons nous empêcher
de le plaindre, même s'il "ricane" du coin
des lèvres et continue de se moquer ! Ce qui est
fait est fait et les marquera à jamais. Ils ne pourront
jamais se vanter d'une telle histoire.
Ils savent que le métier
d'entraîneur est difficile, il faut qu'ils en rajoutent.
Le seul soutien ou
réconfort, que de nombreux entraîneurs, sportifs,
dirigeants, membres de la Fédération Française
des Sports de Glace, juges de patinage, employés
municipaux et directeur de patinoire veulent bien nous apporter,
est qu'ils connaissent très bien un des trois personnages
reconnu pour ses méthodes et agissements.
Ils sont bien loin de
se douter du regard qui est porté sur eux. Après
lecture de cette page, ils en prendront certainement conscience.